Visite de la FAO et la Sotrader du ‘’village Graine de Bolokoboué’’

27 juin 20200
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Pour appuyer le développement du secteur agricole de la formation des jeunes à l’entrepreneuriat agricole, la FAO et la Sotrader se sont rendu ce 26 juin 2020 sur le site du village graine de Bolokoboué situé dans le 1er arrondissement de la commune d’Akanda, au nord de Libreville,capitale gabonaise. Un site qui comprend, deux bâtiments d’élevages de poulets de chair et de poules pondeuses. Il y a également une exploitation maraichère avec pour objectif, d’alimenter en produit frais les marchés de Libreville et Akanda

Le village agricole Graine de Bolokoboué situé sur la route du Cap Esterias a reçu la visite de la Sotrader et la FAO pour toucher du doigt, le travail abattu par l’ONG IDRC Africa en partenariat avec l’IGAD, Indigena Food et l’ONE.

Un projet qui a pour cible, les membres de la coopérative COOPAPE, les populations villageoises de Bolokoboué, d’Akanda, de Libreville et les jeunes déscolarisés. Le domaine d’intervention de ce projet évolue autour de la culture vivrière, maraichère, élevage de poulet fermier et production d’œufs. Une formation sur l’entreprenariat agricole est également donnée à cet effet.

Pour la mise en place des cultures maraichères, un aménagement de 8700 m2 a été fait sur le site de 4500 m2 de culture vivrières. Le coût de la mise en œuvre de ce projet s’élève à ce jour à 17. 546. 000 fcfa.

En visite sur le terrain, le coordonnateur du programme graine Calixte Mbeng, se satisfait de l’engouement qui prévaut sur ce site où travaillent les jeunes gabonais et les femmes avec un modèle de collaboration qui intègre la société civile et qui accompagne les agriculteurs. Selon lui, la Sotrader va maintenir son accompagnement au projet.

Ce site a été mis en place par l’Ong IDRC Africa et ses partenaires pour non seulement pallier aux manquements observés de la pandémie du Covid 19 mais aussi, attirer les jeunes à s’intéresser à la terre afin de lancer les cultures à court cycle et pour démontrer aux dirigeants que tout peut se faire sur nos terres et avec les jeunes gabonais.

Justin B

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