Paroles de chansons / " Hey Lova " , Ba’ponga prone l’amour, paix et l’unité en Afrique

16 septembre 20200
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C’est en qualité de panafricanisme et d’homme spirituel qui s’interroge sur le sort réservé aux africains que Ba’ponga chante, Hey Lova. Ce titre qui est un extrait de l’album " l’Animal " sorti en 2005 interpelle les africains du nord, du sud, de l’est et l’ouest sur des sujets qui catalogues l’Afrique et l’africain aux yeux des occidentaux : la violence, la guerre et les maladies. Par son message qu’il partage avec Kôba, l’ancien leader du label Eben Entertainment souhaite conscientiser les décideurs tout en demandant au Saint-Esprit de toucher les cœurs.

Intro, par Ba’ponga :

Si je pouvais te parler
Si tu pouvais m’écouter et comprendre
Si tu pouvais voir comment je te vois toi mon prochain
Je te jure qu’on en serait pas là
Je te jure

1er couplet, par Ba’ponga et Kôba :

Pont, par Ba’ponga :

Laissez moi chanter chanter et tant que je peux tonner
Laissez-moi tonner tonner autant que je peux aimer ( × 2 )

Kôba :

L’amour nous unit tous
Chasse la haine qui pousse
La mort est à nos trousse aïssé !
On a tous reçu des coups
Garde la corde au coup
De tout y est oussou bassé !
Même dans le feu on chantera Jéhovah
Le Roi des Rois alléluia
Même dans le feu on chantera Jéhovah
Le Roi des Rois alléluia

Refrain, par Ba’ponga :

Eh Lova !
Eh Lova !
Où te caches-tu Eh Lova ?
Sur la terre mère trop combats
Faraphina et dans le coma
Eh Lova !
Eh Lova !
Où te caches-tu Jéhovah ?
Regarde mon drovia
Regarde ce qu’il y a

2ème couplet, par Ba’ponga :

Trop d’uns tombés dans nos forets dans
Ils ont à la guerre avec la vie des gosses
Si je te parles d’Afrique dis moi à quoi tu penses
L’argent du pétrole dans la poche des boss
Appelle Babylone ils sont de connivence
Balancer des infirmes je trouve ça atroce
Suicidaire est ma mouvance
Mais je fais un avec le cosmos
Rassembler falsifier et éduquer la jeunesse
Cultiver et quantifier le savoir que les dieux nous laissent
Censurés mais ce n’est pas grave
Sans nos droits d’auteur on progresse
Hey
I say on love
Ah God bless

Refrain, par Ba’ponga :

Eh Lova !
Eh Lova !
Où te caches-tu Eh Lova ?
Sur la terre mère trop combats
Faraphina et dans le coma
Eh Lova !
Eh Lova !
Où te caches-tu Jéhovah ?
Regarde mon drovia
Regarde ce qu’il y a

3ème couplet, par Ba’ponga et Kôba :

Ba’ponga :

Je me suis dépassé pour sortir du ghetto
Ma foi me suivra jusqu’au tombeau
Un texte censé sur ce tempo
Encore une pensée pour Scubico
Qui peut me reprocher d’abuser de mes mots
Tout le monde sait ce qui se passe à Gabao
Né sous le régime
J’ai grandi dans faux
Les vrais opposants finissent au poteau
Qui a découpé Patrice ?
Qui a liquidé Thomas ?
Dis moi qu’est-ce qui te rend triste ?
Si ce n’est ce que tu vois
A part fuir la police
Ici étranger tu n’es pas
En Afrique il n’y a pas de justice
Mais partout on se bat

Kôba :

On a tous eu
Une personne pour qui de près ou de loin on compté
On a tous vu
Les effets de la guerre quand plusieurs de nos proches sont emportés
On se saigne pour un signe ou une marque d’estime
On s’dit que la vie nous a trompé
On se perd dans les bois
On est perdu dans le noir
En tournant en quête de vérité
Oh Lord ah (Lord ah)
Lord Ah (Lord ah)
Où est la terre qu’on m’a promise ?
Des jeunes aussi s’expriment catcho-failla
Est-ce vraiment ça mon paradis ?
Ici beaucoup meurent de cette maladie
D’autres vivent dans la jalousie
Et nos enfants en paient le prix
Oh Lord have mercy

Refrain, par Ba’ponga :

Eh Lova !
Eh Lova !
Où te caches-tu Eh Lova ?
Sur la terre mère trop combats
Faraphina et dans le coma
Eh Lova !
Eh Lova !
Où te caches-tu Jéhovah ?
Regarde mon drovia
Regarde ce qu’il y a

Pont, Ba’ponga :

Laissez moi chanter chanter et tant que je peux tonner
Laissez moi tonner tonner autant que je peux aimer
Laissez moi chanter chanter et tant que je peux tonner
Laissez moi tonner tonner autant que je peux aimer

D.M

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