Comment peut-on être insensible au point de n’éprouver aucun remord quand un ou des individus décident d’ôter la vie à autrui ? Le peuple Gabonais le vit à ses dépens une fois de plus avec la perte de sa fille DANYS DINABHONGO, jeune étudiante qui avait rallié la Turquie pour poursuivre ses études supérieures. Une disparition difficile à accepter pour sa famille et ses proches.

Que s’est-il passé ? Pourquoi les auteurs ne répondent pas déjà de leur acte ? Que font les autorités Turques face à ce problème ? la véritable question est de savoir pourquoi sommes-nous traités différemment ailleurs alors que chez nous, nous recevons autrui avec altruisme ? Visiblement la question de racisme n’est pas ancrée par tout le monde.

L’Occident avec ses nombreuses et sa morale s’avère pourtant être hypocrite car ses ressortissants se sentent toujours supérieurs ou ont toujours cette fâcheuse tendance à croire qu’ils meilleurs que les autres. Car plusieurs mois auparavant, un autre jeune Gabonais perdait la vie en Russie dans des circonstances quasi similaires.

La vie nous enseigne à être droit envers soi et envers les autres. Et de ce fait, si l’Africain n’est pas le bienvenu en Occident, il est préférable de le dire de façon claire et limpide. Aujourd’hui, une famille est endeuillée, meurtri par l’acte ignoble d’un groupe d’individu lâche. Mais une chose est sûre, tout se paie ici-bas, et ce crime ne restera pas impuni.

Puisse le Très-Haut consoler la famille et les proches de DANYS en cette épreuve.

Freid KOUMBA