Six équipes africaines sont en lice. Les champions d’Afrique, les Algériens, la Tunisie, le Maroc ou la Mauritanie mais aussi l’Egypte et le Soudan. Face à elles, dix autres sélections du Proche ou Moyen-Orient (Arabie Saoudite, Bahreïn, Irak, Jordanie, Liban, Oman, Palestine, Qatar et Syrie). Sportivement, la compétition s’annonce intéressante bien qu’elle se déroulera en dehors des dates FIFA.

Ce sera l’occasion, pour les fans du ballon rond, de découvrir tous les nouveaux stades construits à Doha pour accueillir le prochain mondial, mais aussi une innovation technologique. La FIFA prévoit tester la technologie dite du hors-jeu automatique. Un système d’intelligence artificielle qui, grâce à une caméra et une technologie informatique, qui signale instantanément des positions illicites.

Pas de joueurs évoluant dans les clubs européens mais quelques stars du continent seront présentes, comme les Algériens Baghdad Bounedjah, Raïs Mbolhi ou Yacine Brahimi. L’Egypte s’appuiera sur l’ossature du Al Ahly, champion d’Afrique des clubs, le Maroc pourra lui compter sur le meilleur joueur du dernier CHAN, Sofiane Rahimi.

Le Qatar ouvrira le bal mardi soir contre Bahreïn tandis que la Tunisie, meilleure nation du tournoi au classement FIFA, défiera les Mourabitounes mauritaniens.
C’est la première année que la FIFA organise l’évènement mais la dixième fois que le monde arabe se retrouve autour d’un tournoi. La Tunisie avait remporté la première édition en 1963 au Liban. Tandis que le Maroc reste le tenant du titre depuis son sacre de 2012 en Arabie Saoudite.

Aim’s L