“La Doc’’
« La trouille du général pétard mouillé » c’est le titre d’un article sur la page 3. Le journal fait allusion aux explications du général Idriss Ngari. Ce dernier a fustigé le comportement du gouvernement sur la non-réalisation de plusieurs projets et les difficultés de la population. Après ces propos, le retraité est revenu sur la télévision de l’Etat pour mettre un terme à la mauvaise compréhension et aux mauvaises interprétations de ses mots. « Comme si on lui avait collé un fusil sur la tempe, le plus haut gradé de toutes les forces armées gabonaises en retraite, s’est pitoyablement mis à genoux pour justifier l’injustifiable ».

“Misamu’’
Dans son éditorial, notre confrère estime que Daniel Ona Ondo, le premier ministre gabonais n’a pas pu convaincre les députés et surtout le général Idriss Ngari lors de son passage à l’Assemblée nationale il y a quelques jours. Le journal affirme que le chef du gouvernement s’est démené pour justifier la conjoncture socioéconomique actuelle dans le pays. « Il s’est lancé dans une longue plaidoirie qui n’a convaincu personne. A commencer par lui-même… au point de réveiller Ngari jusque là muet… ».

“ Matin Equatorial’’
Sur sa première page apparaît la photo de Zacharie Myboto, président actuel de l’Union nationale. Le journal retrace son parcours et rappel les péripéties de l’homme politique. Sa sortie du PDG a attiré sur lui la foudre de ses anciens « camarades » dont André Mba Obame qui avait écrit un livre titré “Incroyable’’. Pour ce journal, l’opposant Myboto serait le grand perdant de toute cette histoire incluant sa situation actuelle au sein de l’opposition.

“Le Temps’’
Dans un article paru au bas de sa première page, ce journal avise sur une éventuelle profanation de la tombe d’André Mba Obame par le gouvernement. Le communiqué d’Ernest Mpouho, ministre de la défense qui condamnait le fait que le drapeau gabonais ait été enterré avec le cercueil de Mba Obame est vu dans cet article comme un projet d’exhumation pour retirer le drapeau.

“L’Union’’
Dans son billet “Pour Moi quoi Makaya’’ ce quotidien fustige l’état dans lequel se trouve plusieurs immeubles abritant les services administratifs de l’Etat. Il décrit les conditions de travail indésirables auxquelles font face les fonctionnaires gabonais. « Ce qui est curieux c’est que personne ne s’en émeut. Les pauvres administrés à beau faire des rapports pour attirer l’attention des responsables, rien n’y fit.