Que le sang des martyrs enregistrés dans les violences de ces derniers jours, vienne, comme nous l’exhorte le penseur, ensemencer la marche pleine d’embuches vers le retour à la démocratie au Sénégal. Démocratie acquise de haute lutte, et désormais mise à mal par le président Macky SALL, dont les agissements confinent aux pratiques dictatoriales, à l’instar du clan BONGO au Gabon, tristement incarné par un Ali BONGO, récidiviste de coups d’Etat électoraux et politiquement aguerri dans les pratiques d’entorse à la liberté politique.

Le Sénégal, le Gabon et le reste de l’Afrique ne méritent pas cette image écornée qui renvoie au règne de la voyoucratie institutionnalisée, sur fond de conservation antidémocratique du pouvoir. D’obscurs projets, dans lesquels leurs auteurs se rendent complices du maintien du joug impérialiste sur les épaules de l’Afrique. Un joug plusieurs fois séculaire, et qui ne cesse de plomber l’accès des Etats africains à leur souveraineté nationale, en faisant cyniquement échec à la possibilité pour ses peuples de choisir librement leurs dirigeants.

Signe des temps, la toile de fond de cette crise socioéconomique et politique qui déchire le Sénégal, est l’ambition mal dissimulée du clan Macky SALL et de la France d’Emmanuel MACRON, d’éliminer par des actes d’anti jeu un prétendant sérieux à la présidentielle de 2024 au Sénégal, j’ai cité, le tribun Ousmane SONKO, locomotive politique de la jeunesse de son pays et plus que jamais, figure de proue d’une nouvelle race de dignes filles et fils d’Afrique, déterminés à s’affranchir de toutes formes de pesanteurs impérialistes.

Peuple du Gabon, la présidentielle de cette année qui sera organisée dans quelques mois, et à laquelle votre humble serviteur est candidat avec l’ambition avouée de signer l’acte de décès de la Françafrique, nous commande à une préparation psychologique, morale et spirituelle, visant à des actions de riposte sans précédent, en cas de nouveau hold-up électoral. Car libérer le Gabon, comme libérer le Sénégal, est un impératif citoyen.

C’est dans cette dynamique que le Mouvement Panafricain Osons Pour l’Afrique, reste solidaire du peuple sénégalais dans sa lutte pour le respect de sa dignité et de sa liberté, tout en renouvelant son soutien à son leader charismatique, Ousmane SONKO.
Vive le Sénégal libre, vive le Gabon libre et vive l’Afrique Eternelle.

Pour le Mouvement Panafricain OSONS POUR L’AFRIQUE
Son Président Marc Ulrick MALEKOU,
candidat à la présidentielle de 2023 au Gabon.