Anaclet Mathieu Taty candidat à la tête de la fédération gabonaise d’athlétisme
C’est au cours d’une conférence de presse tenue ce mardi 22 septembre dans un hôtel du cinquième arrondissement de la commune de Libreville, que l’ancien Conseiller, Directeur de cabinet du ministre des Sports et ancien Secrétaire fédéral a dévoilé ses ambitions de devenir Président de la Fédération gabonaise d’athlétisme à la prochaine élection qui pointe à l’horizon.Quatre principaux points vont constituer son plan d’action : la relance de l’athlétisme, la reconstruction des ligues provinciales d’athlétismes, associer les anciennes gloires à jouer un rôle prépondérant et créer un poste de manager général.
Après plusieurs années d’inactivités sous les regards des instances internationales, la Commission ad hoc, chargée de la normalisation avait rendu public le 14 septembre dernier, les conditions d’éligibilité à faire acte de candidature. En prélude donc à cette élection du bureau directoire de la Fédération gabonaise d’athlétisme, qui aura lieu au mois d’octobre prochain, l’ancien Secrétaire général fédéral s’est donc exprimé ce 22 septembre pour donner les motifs de sa candidature à la tête de ladite fédération.
Pour lui, la fédération a besoin d’une véritable cure de jouvence. Fort d’un constat moins glorieux ces dernières années, et conscient des nombreux défis à relever pour que l’athlétisme renoue avec les performances de haut niveau, Anaclet Taty se propose d’être candidat au poste de Président de la Fédération gabonaise d’athlétisme avec une équipe d’homme et de femme issus du milieu d’athlétisme, chacun possédant une expérience et une expertise dans son domaine qu’il convient de capitaliser au profit du développement de la discipline.
Les ligues provinciales seront au cœur de son programme d’action. Pour inculquer les premières notions techniques aux athlètes, les anciennes gloires de cette discipline ne seront pas en reste pour jouer un rôle principal dans cette mission et enfin, créer un poste de Manager général pour assurer le suivi de l’encadrement des athlètes évoluant à l’étranger.
Justin BITEGHE