Nicaise Moulombi à la sixième session de l’Assemblée des Nations unies pour l’environnement au Kenya

27 février 20240
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Nicaise Moulombi, membre du bureau du Conseil économique social et environnemental, prend part à la sixième session de l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement (UNEA-6). Elle a lieu du 26 février au 1er mars 2024 au siège du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) à Nairobi, au Kenya.

La sixième Assemblé de l’environnement s’ouvre en grande pompe au Kenya. Nairobi devient du 26 février au 1er mars 2024, la capitale mondiale de l’environnement. C’est un honneur pour le Président de l’ONG Croissance Saine Environnement, de prendre part à cette cérémonie de l’environnement.

Depuis le 30 août, le Gabon vit un nouveau souffle sous la houlette du Général Brice Clotaire Oligui Nguema et le CTRI qui tiennent compte des problèmes environnementaux. "C’est l’occasion pour moi de rendre un hommage mérité aux corps habillés, particulière au Président de la Transition de m’avoir associé à prendre part active à ce grand rendez-vous"fait-il savoir.

Pour Nicaise Moulombi, ceci démontre la reconnaissance du CTRI, de l’implication de manière inclusive, des filles et fils du pays ayant marqué leurs efforts des années durant. "J’accueille cette invitation comme une plus grande responsabilisation aux actions que je dois continuer à mener dans le cadre de la protection de l’environnement et le développement durable. Notre pays en avait besoin. C’est avec humilité et honneur que je tenterais d’accompagner la vision du Président de la Transition en matière de biodiversité et de protection de nos écosystèmes, mais aussi, poursuivre à hisser au plus au point, l’image de notre pays.
"dit-il.

Le Vice-Président du Conseil économique social et environnemental dit se sentir plus fier d’être Gabonais et fier d’avoir un leader qui sait mettre l’homme à la place qu’il mérite. Il espère que l’ouverture de cet axe permettra au Gabon de tirer véritablement profit de ses efforts en matière d’environnement.

Il rappelle que l’ordonnance qui a été prise relative a lq préservation de la biodiversité en lien avec les déchets plastiques, devrait amener les parlementaires gabonais d’accélérer la prise en compte des aspects socio-économiques que pourraient générer la protection de l’environnement et l’élimination des déchets plastiques dans notre pays.

Il faut aussi rappeler à des fins utiles que cette sixième Assemblée de l’environnement rassemble un nombre record de 6.000 délégués, dont sept chefs d’État, 139 ministres et vice-ministres, ainsi que des experts, des militants et des représentants de l’industrie.

MT

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