"Finance verte, inclusive et durable pour les pays francophones en développement" à l’Université Laval : Nicaise Moulombi prend part

11 septembre 20240
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Nicaise Moulombi, Président exécutif du ROSCEVAC, a pris une part active à la Conférence – débat sur la "Finance verte, inclusive et durable pour les pays francophones en développement" à l’Université Laval – Salle Hydro Québec du Pavillon Desjardins. Cette conférence - débat a réuni les représentants du gouvernement du Canada, du gouvernement du Québec, du milieu universitaire et de la recherche, ainsi que du secteur financier. Une centaine de participants ont pris part à cet atelier, ce 10 septembre 2024.

Les questions climatiques et environnementales suscitent beaucoup de réflexion. Les acteurs de ces domaines s’y penchent, débattent dans l’optique de trouver des solutions. C’est ce qui sans doute justifie la tenue de la conférence – débat qui se tient à l’Université Laval – Salle Hydro Québec du Pavillon Desjardins dont le thème retenu est "Finance verte, inclusive et durable pour les pays francophones en développement".

Prenant part à ce rendez-vous du donner et du recevoir, Nicaise Moulombi, Deuxième Vice-Président du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) salue non seulement la pertinence de cette thématique, mais juge utile ce genre de rencontre de nature à enrichir les participants qui doivent répondre aux enjeux de leur temps. Il reconnait et affirme que les défis majeurs des prochaines décennies sont étroitement liés aux risques climatiques et environnementaux.

Les acteurs de la cause climatique et environnementale ont besoin de financement. Selon l’analyse des besoins de financements réalisée par la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques en 2022, les pays en développement auront besoin d’au moins 6 000 milliards de dollars d’ici 2030 pour couvrir moins de la moitié de leurs engagements nationaux.

Sans ces financements, nous renseigne t-on, l’effectivité et l’opérationnalisation des accords universels sur l’environnement ne seront pas possibles dans un contexte qui nécessite pourtant plus d’actions transformatrices pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, l’augmentation de la température moyenne et l’extinction massive de la biodiversité d’ici la fin de ce siècle.

Il faut rappeler à des fins utiles que la conférence - débat a réuni les représentants du gouvernement du Canada, du gouvernement du Québec, du milieu universitaire et de la recherche, ainsi que du secteur financier. Une centaine de participants, dont Nicaise Moulombi, Deuxième vice président du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) et acteur majeur de la société civile gabonaise, ont pris part à cet atelier.

Aussi, faut-il souligner que l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), à travers l’Institut de la Francophonie pour le développement durable (IFDD) a joué un rôle majeur pour la participation des pays francophones aux négociations universelles sur l’environnement que ce soit pour l’Accord de Paris sur le climat ou le cadre mondial de la biodiversité de Kunming-Montréal.

MTM

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