GABON/Les 30 ans de la science célébrés à l’Institut français
La salle Madeleine Renaud de l’Institut français du Gabon (IFG) a été le théâtre de la cérémonie des 30 ans de la fête de la science, placée sous le thème « Eurêka ! L’émotion de la découverte ». Cet événement a vu la présence du Directeur de l’Institut français du Gabon Bernard Klein, et du journaliste Boursier Tchibinda, ce mardi 09 novembre 2021.
Il y a bien trente bonnes années que la fête de la Science a été initiée par l’ancien ministre français de l’enseignement supérieur ,de la Recherche et de l’Innovation, Hubert Curien. C’était en 1991. L’édition de cette année est placée sous la thématique « Eurêka ! L’émotion de la découverte », tout en précisant que c’est scientifique Archimède que l’on doit cette expression grecque qui traduit l’excitation face à la compréhension de ce qui était obscur. La présence du Directeur de l’Institut français du Gabon, Bernard Klein, et du journaliste Boursier Tchibinda a donné une plus-value à ce rendez-vous.
Ayant participé aux travaux d’exposition "vue d’Afrique", le journaliste Boursier Tchibinda fait savoir qu’il était question pour ces travaux d’inviter les journalistes africains de porter un regard sur le continent. "J’ai essentiellement travaillé, dans le cas du Gabon, sur l’Agence Gabonaise d’Etudes et d’Observations Spatiales(AGEOS). Il était question de mettre en avant comment le système des forêts était géré via des données satellitaires qui permettaient justement de regeler les problèmes de fonciers et la gestion de la forêt".
Il faut toutefois rappeler que la Fête de la science est l’occasion de "sensibiliser les publics à la science et à ses enjeux, favoriser le partage des savoirs entre chercheurs et citoyens, valoriser le travail de la communauté scientifique , susciter des vocations chez les jeunes".
Du 5 au 20 novembre 2021, deux semaines durant, de nombreux événements gratuits seront dédiés à la culture scientifique à travers de nombreux événements gratuits organisés à l’Institut français du Gabon, au musée national de Libreville et au Lycée Blaise Pascal.
MTM